lundi 10 mars 2014

Astuce : la chapelure japonaise

Vous avez certainement déjà entendu parler du panko, appelé aussi la chapelure japonaise. Dernièrement j'ai fait quelques fois du poulet pané et des cordons bleus, un peu fastidieux à faire mais super bons, et j'ai essayé de remplacer la chapelure classique (càd achetée toute faite, je ne la fais pas moi-même) par du panko. J'ai fait le test avec du poulet pané.
Bonne nouvelle, on en trouve au Colruyt, mais pas au rayon farines et chapelure, il faut aller au rayon produits asiatiques (merci à la dame qui me l'a indiquée, je ne l'aurais jamais trouvée sinon).

La composition : (bon j'ai écrit ce billet en draft il y a des semaines en me disant que je le publierais quand j'aurais regardé les compositions mais je ne l'ai toujours pas fait donc tant pis, je publie) En gros d'après ce dont je me souviens, c'était assez simple et sans trucs chimiques suspects.

La préparation : le panko est composé de sorte de flocons, plus grands et plus légers que les grains de chapelure, ce qui le rend à mon avis un peu plus facile à utiliser. Avec la chapelure j'avais l'habitude de paner en passant les morceaux de poulet dans la farine, puis l'oeuf battu, la chapelure, puis de nouveau oeuf battu et chapelure. C'est assez long et crasse à faire mais ça donne un meilleur résultat. Pour mon premier essai avec le panko j'ai essayé des morceaux panés normalement et panés double.

La cuisson : je cuis les morceaux de poulet pané à la poêle avec pas mal de beurre, il n'y a pas de différence entre la chapelure et le panko.

La dégustation : victoire incontestable et à l'unanimité des juges pour le panko! Il donne une panure plus épaisse, plus moëlleuse et meilleure que la chapelure normale. Et les morceaux panés avec une seule couche sont déjà très bien donc il ne faut plus s'ennuyer à en faire 2.

Donc chez nous le panko est adopté et adieu la chapelure classique.

(cela dit, je suis sûre que de la vraie chapelure faite maison doit être encore meilleure mais je n'ai pas encore eu le courage d'en faire)